NPA 69
  • Film débat jeudi 15 juin : Il nous reste la colère... et l’optimisme de la lutte

    12 juin 2023

    Avec P. Poutou jeudi 15 juin à 20h, au cinéma Le Fellini de Villefontaine
    attention, succès garanti : réservez votre place sur le site du cinéma
    et prévoyez de rester pour le débat !
    La bande annonce du film de Jamila Jendari et Nicolas Beirnaert :
    https://www.youtube.com/watch?v=hWpVH5QJjRI

    Compte-rendu d’une autre projection-débat :

    Philippe Poutou a reçu un accueil chaleureux en Bretagne le 25 avril, à Châteaulin d’abord, où il présentait son livre, puis à Carhaix où la lutte des Ford et en général celle des salariéEs était au cœur des discussions après la projection du film « Il nous reste la colère ».

    Mardi 25 avril à Châteaulin une séance de dédicace à « la maison de la presse », en train de se transformer en coopérative du livre Un “petit” candidat face aux “grands” médias écrit par Philippe Poutou, Béatrice Walylo et Julien Salingue, après un débat avec plus de trente personnes dans une ambiance chaleureuse.
    Des Bonnets rouges au Grand bleu

    Retrouvailles des camarades avec Philippe au restaurant les Bonnets rouges de Carhaix, tenu par notre camarade Matthieu Guillemot, puis départ vers le cinéma associatif le Grand Bleu où chacunE se présente, direction la salle de projection, où — surprise ! — nous constatons que la campagne menée depuis plusieurs jours tant sur les réseaux sociaux que par les communiqués de presse, a porté ses fruits. Pas moins de 74 entrées payantes, des militantEs NPA, des militantEs syndicaux, des acteurEs des luttes locales, des têtes connues, d’autres beaucoup moins sont venues voir le film Il nous reste la colère.

    Après une rapide présentation du film, par Léna Olivier directrice du cinéma et Philippe, place à la projection. À l’issue de celle-ci, retour dans la salle pour une discussion ouverte qui s’est révélée très enrichissante, les questions allant de la situation des ancienEs salariéEs de Ford à la division syndicale, en passant par le rôle des états-majors syndicaux et la radicalité des luttes.

    La présence de Olivier Le Bras de chez Gad, de Nadine Hourmant de chez Doux (entreprises de l’agro­alimentaire) qui ont tous deux, avec les salariéEs de leurs entreprises, mené des luttes très fortes contre la fermeture de leur outil de travail auront permis un échange plein d’optimisme quant à la nécessité de lutter.

    Portfolio