Il n’est pas loin, aujourd’hui, d’être minuit dans le siècle. Des pays tombent dans les mains de l’extrême-droite avec ce que cela signifie d’attaques et de menaces pour les plus précaires et les plus fragiles, pour les droits démocratiques et humains.
Il y a quelques années Ugo Palheta écrivait un livre intitulé "La possibilité du fascisme". On pourrait désormais le renommer : "La probabilité du fascisme"
Pour autant, l’histoire n’est pas écrite, elle est surprenante, pleine de possibilités et d’opportunités. 

Pour en inverser la mécanique, il n’est pas d’autres solutions que de mener la lutte. C’est bien là que se joue notre responsabilité : empêcher les fascistes d’accéder au pouvoir et de faire régner leur ordre de terreur et d’inégalités.
Mais cette tâche ne peut être envisagée sans un travail radical d’opposition aux causes qui le produisent : le capitalisme et les intérêts de la domination.Comme hier, mais autrement, l’alternative est bien entre l’écosocialisme et la barbarie.

Que faire, donc, face au fascisme ? 
Et, pour commencer, qu’appelle-t-on "fascisme" ? Sur quoi repose-t-il ? Quel est son projet ? Il s’agit de le comprendre pour le combattre, d’en repérer les formes et les fragilités, les nouveautés autant que les continuités afin de s’orienter dans la conjoncture, de réfléchir à nos interventions.

Pour participer, prendre contact avec le NPA 69 : npa69 (arobase) npa-mail.org